La Corse

6 août 2013

Comme d'habitude, nous passons par un cheminement sinueux avant d'arriver à destination. Et je crains qu'il ne s'agisse pas là que d'une image. La Corse, ca tourne, ca grimpe et ca descend ! Roule doucement Pataclou, roule doucement !

Toujours est-il que nous pensions à la Toscane, puis à la Sardaigne, puis à Chypre ou la Crète, jusqu'à se qu'on se rende compte qu'à partir du 15 septembre, date à laquelle nous partons, toutes les activités et baby clubs seront fermés.

Quel interet alors d'aller dans un super hotel si ce n'est pour profiter de son infrastructure ?

J'avoue que le Princessa Yaiza m'avait tellement plu, il m'a été très difficile pour l'organisation de ce voyage de trouver quelque chose qui me plaise à nouveau.

Déjà, des infrastructure comme le Princessa Yaiza, il n'y en a pas à la pelle, et quand on en trouve, elles sont réellement hors de prix, où alors de piètre qualité. On avait l'impression de s'être "ruiné" à Lanzarote, et en fait nous avons eu un super rapport qualité/prix. Que j'aimerais y retourner !

Alors quitte à ne pas avoir d'infrastructure, autant aller en France et profiter de cette île sur laquelle nous fantasmons depuis 2008.

En 2008 nous pensions y aller pour nous retrouver finalement sur la côte ouest américaine, mais cette année, en partant encore plus en décallé, nous obtenons des prix relativement abordables, malgré les locations quasi toutes complètes, encore à cette époque.

Comme nous partons en location, les 3, j'ai prévu de ne faire que le sud de la Corse, afin de nous éviter notre sempiternel marathon des lieux à visiter.

Nous partirons donc tranquillement le jeudi soir, dormirons chez grand-mère Nicole, avant de reprendre la route pour Marseille, où nous prendrons le ferry de nuit, pour une arrivée à Ajaccio à 7h du matin le samedi.

De là, nous prévoyons de voir la route des îles sanguinaire, la ferme des tortures à Cupulatta, une petite visite en train touristique d'Ajaccio, puis route pour Porto-Vecchio. Hazel me faisait peur, m'indiquant dans un premier temps que 10h de route ne suffiraient pas pour faire le chemin, Finalement si nous comptons 3 bonnes heures, ca ira. De toute facon nous avons 10h devant nous avant de prendre la location, alors nous ne sommes pas pressés.

Nous souhaitions diversifier les risques, quitte à prendre une villa 8 personnes avec piscine privée pour nous 3, mais finalement tout etant complet aux dates que nous souhaitions, nous avons du nous rabattre sur une loc moins classieuse, "Pietra di sole", avec piscine tout de même, et surtout avec un petit âne! Ca peut être sympa, si Elyam ne meurt pas de peur devant la bête... Concernant tout ce qui est "campagne", il est a peu près aussi courageux que son père :p

De ce point de chute nous prévoyons de voir Bonifaccio, L'aiguille du Bavella et le trou de la bombe, Porto Vecchio et ses plages célèbres, les plages plus au nord, le Capra parc qui lui est vraiment plus loin, avec une visite et balade avec les chèvres, les sites préhistoriques et puis du farniente aussi. C'est bien des fois de ne rien faire...

Nous adapterons aux conditions de route, on verra bien sur place.

J'espère que pour une fois je trouverai le temps à mon retour de laisser des appréciations sur ce que nous avons vu, car j'ai remarqué que depuis la naissance de petit clou, j'écris beaucoup avant de partir, mais je laisse tout en plan au retour.. Pas glop !

A plus tard donc pour la suite des aventures !

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De retour de congés, voici ce que nous avons vu, visité, vécu...

Notre impression globale : c'est comme la Réunion, mais en mieux :p

Bienvenue sur Pizza Island, l'île où il y a plus de pizzerias que d'habitants :-)

Aiguilles de Bavella et Trou de la Bombe

Situé à 1h10 de route sinueuse de Porto-Vecchio, en passant par l'Ospédale et Zonza, le village de Bavella est un important site touristique. Du parking gratuit (sur la gauche) nous pouvons admirer les sompteuses Aiguilles de Bavella. Une beauté immense, envoutante, qui rappelle un peu notre passage à Grand Canyon et Yosemite... De larges espaces... La nature dans toute sa splendeur.

Il était conseillé de partir l'après midi pour faire la balade du Trou de la bombe, afin d'avoir le versant des Montagnes au soleil. Et effectivement, le soleil qui commencait à rougeoyer après notre randonnée donnait des reflets merveilleux aux Aiguilles.

Nous nous sommes garés au parking payant (à droite) puisqu'il était plus facilement accessible que l'autre, archi bondé de touristes et bloqué par les bus de voyage. 3 euros, c'est raisonnable. Nous avons profité de demander à l'acceuil du parking un petit guide, et le mec, très sympa, nous a expliqué quel chemin suivre, et dans quel sens.

Il faut compter entre 2h30 et 3 heures de randonnée. Nous avons mis 2h30 avec clouton dans le dos, pause goûter et alternance de clouton pour aller au Trou de la Bombe (sans grimper à l'intérieur, on avoue !)

Chaussures de rando conseillées, et porte bébé de rigueur. Il suffit de suivre le sentier tracé de point rouge et orange. Le chemin traverse la fôret. C'est une balade extrêmement agréable, protégée du soleil. Arrivé au bout de la boucle, un panneau de bois indique sur la gauche "U Tafonu di u Cumpuleddu". Suivre cette direction. La randonnée devient un peu plus difficile, et les derniers mètres, on peut carrément laisser bébé en plan et finir tout seul. si nous n'avions été que les deux, nous aurions sans doute poussé un peu plus près du trou. Je me suis personnellement arrêté au le premier trou de souris, que j'ai du escalader afin de voir le fameux trou de la bombe. J'aurais pu descendre de l'autre coté, mais j'étais seule et j'avais peur de ne pas pouvoir en ressortir, Sam étant bien plus bas avec Clouton. Dommage, car il parait que la vue est magnifique.

Le gars de l'acceuil nous a conseillé de faire la bouche en sens inverse des aiguilles d'une montre, en commencant par le chemin tout au fond du parking payant, et il a vraiment bien fait. Car la deuxième partie de la boucle était bien plus raide (elle emprunte le GR20), mais bien plus facile à faire au retour puisqu'en descente ! Certains sites proposent de commencer par le parcours du GR20, direction la chapelle.. je ne regrette pas de ne pas avoir suivi ce conseil !

Bavella

Ajaccio

C'est une mignonne ville, mais qui a moins de charme que certains petits villages du sud de la France. Nous avons utilisé le petit train touristique, ce qui nous a permis d'avoir une vue d'ensemble sans trop se fatiguer, surtout après la courte nuit passée dans le bateau. Nous avons profité du marché alimentaire pour faire nos premiers achats et avoir quelque chose à grignoter en arrivant à la location : charcuteries, fromages, fruit et une bouteille de vin, qui s'avèrera beaucoup moins cher au Leclerc de Porto Vecc'... Touristes Welcome !

Aux Gourmets

Le seul des 4 restaurants recommandé par le guide Géo qui était ouvert un dimanche midi à la mi-septembre, et quelle bonne surprise. Nous avons été installé près de la jolie vue sur les colines, Clouton et moi sur un banc, ce qui était plus pratique qu'une chaise. Nous avons pris deux menus : charcuteries et terrines en entrée, spaghetti au sanglier et cannelloni au brocciu, fromage et ile flottante (pas tout ca pour une personne hein ! Une entrée, un plat et un dessert pour chacun !). C'était super bon, et Clouton a goûté pour la première fois une île flottante ! Il a dit "goûter !" une fois, puis 30 fois ensuite... au final je n'ai pas eu de dessert !

La serveuse qui s'est occupée de nous était vraiment très gentille et très belle, avec d'immenses yeux bleux et de longs cheveux noirs... Clouton s'est plutôt bien laissé faire ! Elle est venue discuter un peu avec nous, c'était vraiment agréable, alors que nous sommes arrivés là comme des pouilleux, en pantalon et chaussures de rando, sac au dos, tout transpirés et poussiéreux après notre balade à Cauria... La seule chose que je n'ai pas aimé a été le verre de muscat, qui n'était vraiment pas sucré... Même Sam l'a bu cul-sec tellement il tirait...

Bonifacio

Son accès n'est pas simple. Beaucoup de circulation même en hors saison, parking à flanc de falaise quasi tous complets, peu d'espace pour manoeuvrer et faire un demi tour.. mais c'est ce qui fait son charme !

Sans doute ma ville préféree en Corse du Sud, perchée au bord des falaises, il parait que tout s'écroulera d'ici 1000 ans... Nous y avons fait une très jolie balade, malheureusement le vent soufflait extrêmement fort au point que Sam était déporté avec Clouton en porte bébé. Les marches d'Aragon (qui auraient été construites en une nuit) n'étaient donc pas accessibles, car les rafales de vent étaient trop violentes. Après coup, lorsqu'on les a vu depuis le bateau, on a pas regretté de ne pas avoir pu les emprunter... inclinaison à 45°, ca pique les cuisses !

Le centre est vraiment charmant, plein de petits ruelles étroites et de restau qui donnent sur la mer. Une ville faite pour les amoureux. Un peu moins pour les amoureux qui ont consommé et se retrouvent avec un clouton (ou plus) dans le dos ! :-)

Calanques de Bonifacio

Nous y sommes allé avec la SMPB : http://www.spmbonifacio.com/

Nous avons choisi un trajet d'1h15, qui nous a permis d'admirer les falaises, les calanques et les grottes. Nous hésitions avec un trajet jusqu'aux îles Lavezzi, mais j'ai lu qu il fallait y être très tôt (même à la mi septembre) car dès midi les bateaux déposent des hordes de touristes, et le lieu devient moins agréable. Etant à 45 min de route, cela nous aurait fait lever très tôt, et puis pas de débarcadère, il faut sauter dans des canots qui te déposent sur la plage, alors avec Clouton et tout le barda, y'a plus pratique... Surtout qu'on est pas tant plage que ca, à la base.

Pas de regret sur la compagnie, ni sur le fait que nous sommes arrivés dans le bateau à -1, et que n'avions plus de place à l'extérieur. Au final nous étions protégés du vent et du cagnard qui tapait. Le personnel à bord était super sympa, la nana a montré des poissons sur une fiche à Clouton, puis nous a appelé pour qu'il vienne voir par la porte les poissons qu'elle nourrissait de miettes de pain... Le mec, qui faisait les commentaires, était vraiment très sympathique et passait son temps à raconter des conneries, c'était une balade agréable, calme et sans houle, donc Sam a semblé plutôt à l'aise, pour une fois !

En tous cas, les eaux turquoises des calanques donnaient envie !

Cauria

Un très joli petit site préhistorique, près de Tizzano, à environ 1h20 de Porto Vecc' en passant par Sartène. Le parking se trouve à 800m du premier site, accessible par un sentier de terre caillouteux. Les chaussures de rando ne sont pas obligatoires, mais je pense qu'on y est plus à l'aise en basket qu'en tongues. L'entrée est libre et gratuite. Un premier panneau explicatif près des menhirs donne des informations relativement complète. Personne ne peut accèder aux menhirs ni les toucher, ce qui semble "normal" (j'y reviendrai pour Filitosa)...

La balade se poursuit comme en pleine campagne, au milieu de nulle part, juste entouré de montagnes et des chants des grillons. Quelques rares touristes.. on est au bout du monde au moment même où à Luxembourg ma collègue se prend le chou à publier sur intranet un document... Voilà ce qui m'est venu à l'idée à ce moment là : je suis dans l'un des paysage du paradis, éloignée de tout et pourtant si proche de tout. A ce moment là le temps s'arrête. Plus rien ne comptent que ceux qui sont vers nous, et ce calme, cette sérénité qui nous entoure. La chaleur, le soleil, le petit vent, le ciel sans nuages, les roches immenses qui nous dominent, les odeurs du maquis...

Un peu plus loin, le deuxième site, avec des pierres et des menhir que nous pouvons cette fois approcher. Puis on passe sous des chênes-liège et des oliviers, qui apportent un peu de fraicheur. La promenade est délicieuse, Clouton découvre la douceur de l'écorce du chêne-liège.

On termine enfin par le dolmen, inaccessible lui aussi, en raison de sa dangerosité, puisque la dalle qui le recouvre et qui pèse plusieurs tonnes est fissurée. N'empêche que c'est la première fois, si mes souvenirs sont bons, que je vois un dolmen en vrai. C'est quand même pas rien !

Retour au parking après une promenade d'environ une heure. Ca fait beaucoup de route pour peu de temps sur place, alors nous décidons de nous arrêter à Sartène et d'aller manger dans l'un des restau recommandé par le guide Geo, "Aux Gourmets".

Corsica Ferries

Nous sommes arrivés au port d'Ajaccio avec 40 min d'avance sur les 2 heures d'avance prévues. En fait, j'avais dit à Sam quele bateau partait à 20h, et que nous devions donc être au port pour 18h. Sauf qu'à 17h45, alors qu'on arrivait vers le port, je vérifie les horaires et m'apercois qu'en fait le bateau part à 23h ^^ Bien joué Cloup's ! Du coup , après un retour aux îles Sanguinaires nous arrivons finalement vers le port à 20h20, espérant que nous pourrions tout de même entrer dans le port, sur l'embarcadère, car j'avais lu sur le billet que l'embarquement à Toulon se fait jusqu'à 3 heures avant le départ. En fait nous sommes arrivés devant la plateforme d'embarquement, 4 voitures devant nous, barrière fermée, un immense panneau indiquant "Embarquement 2 heures maxi avant le départ"... Ca, c'est fait... On coupe le moteur, on sort les bouquins, et c'est parti pour 2h40 d'attente ! Sauf qu'une voiture arrive derrière nous, puis une seconde, et quand arrive le tour de la 3ème, elle reste bloquée dans le rond point. Les gens qui arrivent derrière et qui utilisent ce rond point pour aller ailleurs commencent à klaxonner. Une seconde file de voiture se crée à coté de nous... et ca devient un vrai bordel sur le boulevard qui mène au port. C'est vraiment trop mal fichu. 40 minutes plus tard ce n'est qu'une succession de coups de klaxon permanent, la route étant complètement saturée par les voitures qui veulent aller au port... Finalement, heureusement qu'on est arrivé en avance, car connaissant Sam il aurait pété une pile s'il avait du rester au milieu du rond point à gêner la circulation !

Nous nous sommes finalement dirigés vers les lignes d'embarquement, sans que personne à aucun moment ne vérifie notre identité, contrairement à ce qui était indiqué sur le billet (présenter sa pièce d'identité). Par chance miraculeuse, nous avons eu le bonheur d'être les premiers d'une nouvelle file, et nous sommes donc retrouvés avec tous les motards du bateau devant nous... Je vais pas me faire des amis, mais MON DIEU, les têtes à claque !! Enfin une en particulier, qui voyageait à 2 motos avec son mec, et qui se la racontait à mort.... mais à mort... A un moment Sam a eu envie de lui rouler dessus :p
En fait la confrérie des motards c'est un truc ultra sectaire, où seuls les vrais motards ont de la valeur.. Les deux jeunes qui sont arrivés en scoot, elle leur a même pas jeté un regard... C'était assez impressionnant de voir cette meuf accoster tous les nouveaux motards qui arrivaient, comme si elle cherchait des amis, pour pouvoir leur raconter que "ah qu'est ce qu'on s'est régalé sur les petites routes de montagne, ah nan mais attends, nous on a fait des routes de fou !"
Comme dirait Sam, c'est sûr qu'en roulant à 90 sur des routes de montagne avec ton casque sur la gueule, tu dois avoir vachement le temps d'apprécier le paysage lol
Et puis deux autres motards sont arrivés, et là elle lorgnait, coupant court à sa discussion passionnante dans l'espoir d'accrocher leur regard de les faire se joindre à son groupe de has been... Sauf que les deux jeunes en avaient rien à battre de sa tête de bouffonne tout droit sortie des années 80, que l'un d'eux à même retiré son blouson de cuir histoire d'être à l'aise... pendant que l'autre se sentait plus pisser de porter sa combi `dans laquelle elle devait perdre un litre de sueur au quart d'heure ^^ Ya des gens chelous dans chaque catégorie de groupe, mais celle là était particulièrement indigeste... Du coup avec sa voix de crecelle, impossible de s'endormir dans la bagnole, alors que j'aurais bien piqué un somme, sachant ce qui nous attendait.

Finalement nous sommes arrivés dans le bateau, et là, ca semblait mieux organisé que chez la SNCM, puisque les portes des cabines étaient équipées de digicode, comme dans les Formule1. Enfin, "semblait", car en fait les digicode ne fonctionnent pas, alors tu te retrouve devant la porte de ta cabine avec tes bagages et là tu dois aller chercher un mec qui va venir t'ouvrir avec une clé... trop logique ! Bon, pour être honnête, on a trouvé le mec rapidement, et puis surtout il nous a annoncé la bonne nouvelle de la soirée, c'est nous qui avions la plus grande cabine après celle de l' "Armatoré" Cool ! J'avais pris une Deluxe mais je savais pas que c'était à ce point ! En fait on avait des fenêtres immenses qui donnaient sur l'avant du bateau. Par contre, lumières éteintes obligatoire, sinon ca gêne le capitaine pour naviguer lol Du coup en prennant le bateau de nuit, aussi tard, on a pas vraiment pu en profiter, mais à d'autres horaires ce doit être juste super sympa. La cabine était super spacieuse, toute de violette faite, par contre la cabine de douche rikiki, qu point que Sam pouvait pas prendre sa douche sans que son ami le rideau lui colle aux fesses... ca rappelle un sketche ! En revanche, plein de serviettes, un gel douche, un shampoing et une crème pour le corps, ainsi qu'une petite savonette. Plutôt bien fourni en comparaison des prestations SNCM.

Coté repas, j'avais acheté les diners et petits-déjeuner avant de partir. Sauf que pour 21,90, tu as droit à une bouteille d'eau, un plat et un morceau de pain ! C'est juste hors de prix. Nous avons du payer en supplément l'entrée et le dessert ! Par contre pour le petit-dej, c'était raisonnable. Un petit pain, un beurre, une confiture, une boisson chaude, un jus de fruit et un vrai croissant.

Sauf que quand on mange à 23h, on a pas très faim à 6h du mat !

Coté organisation c'est un peu la misère. Il faut libérer les cabines à 6h30 alors que le bateau accoste à 7h. Pas de problème pour ceux qui n'ont pas beaucoup de bagages et qui peuvent prendre leur valise avec eux au petit déjeuner. Pour nous ce n'était pas envisageable. Du coup il a fallu se dépêcher de déjeuner pour ensuite devoir attendre 30 min dans les couloirs.

Pour ce qui est du parking, autant bien se souvenir où on est garé, car on a a peu près tout visité... la galère ! Et si nous sommes montés dans les premiers, nous sommes aussi repartis dans les derniers...

Bref, avis mitigé... pas de réel vaincoeur entre SNCM et Corsica ferries !